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Revue de presse

 

 

Extraits de presse de L’Incroyable Histoire du Cancan de Nadège Maruta

 

  • Le Figaro (13/12/2014) : « Nadège Maruta raconte l’histoire du cancan à partir de gravure d’époque et de documents juridiques, cette danse n’était pas la simple image de la gaieté parisienne, dit-elle, elle a conduit les femmes devant les tribunaux ».
    Jacques Pessis
  • Le Figaro.fr (15 /12/2014) : « En 1829, on jetait les danseurs de Cancan en prison. Aujourd'hui, cette danse a sa bible grâce à Nadège Maruta, qui a levé la jambe sept ans au Moulin Rouge, avant de devenir chorégraphe puis historienne de Cancan. ( …) Nadège Maruta dresse son encyclopédie du Cancan avec l'entrain et la vivacité qu'on prête à ses interprètes, avec une précision extrême: figures, tenues, interprètes, historique. Son livre se dévore. Et s'admire, puisque les pages sont rythmées par l'iconographie joyeuse née sous le crayon de Paul Colin, de Toulouse-Lautrec, d'Albert Robida ou de Jules Chéret. S'y ajoutent d'incroyables photos des protagonistes: La Goulue dévorant un pilon, La Goulue en culotte devant sa caravane et autres documents qui en disent long sur les dessous des bals. ».
    Ariane Bavelier
  • Paris capitale (Déc. 14/Jan 15) : « Nadège Maruta soliste de cancan au Moulin Rouge sort des sentiers battus avec cet ouvrage sur le cancan. Elle revient aux sources de cette danse qui avant de devenir le symbole d’une certaine idée tapageuse de la France s’est affirmée dans les années 1830 comme une langue rebelle. (…) Le livre en plus de reprendre les illustrations tableaux d’époque et une riche iconographie photo est quasiment un manifeste sociologique. Passionnant. »
  • Ballroom, revue danse, (N°4, hiver 2014) : « L’Incroyable Histoire du Cancan » Quand les parisiennes menaient la danse…Chahut, Quadrille naturaliste, French Cancan… autant de noms pour qualifier une danse qui a perpétuellement agité le XIXème siècle par ses acrobaties froufroutantes. Né pendant le carnaval de 1825, et au départ réservé aux hommes (!) il grandit dans la subversion et l’interdit, associé à la débauche et aux lieux interlopes. Bel exemple d’une danse qui ne cessera de représenter jusqu’à la Première Guerre mondiale, les mouvements de libération qui secouent la société bourgeoise. Nadège Maruta, grande danseuse de cancan et interprète de Jérôme Savary signe ici un savoureux voyage dans le temps et dans les arcanes d’une danse trop souvent méconnue et réduite à des clichés. Elle rend hommage à ces interprètes hors-du-commun qui ont forgé l’histoire du cancan et de la nuit parisienne, des femmes dont les noms et les images nous frappent par leur forte personnalité, plus que par leur volonté de séduire : Nini patte en l’air, Grille d’égout, Rigolboche ou la Goulue. Ce beau livre rassemble 170 documents et photographies qui le rendent très agréable à lire. Un glossaire illustre également les formes chorégraphiques du cancan et nous permet de reconsidérer cette danse sous l’angle de son exigence technique. ».
    P.C.
  • Danses avec la plume, les livres danse de l’automne (13 novembre 2014) : « […] À savoir - Véritable petite encyclopédie du French cancan, ce livre est illustré de plus de 170 documents et photographies, parcourant deux siècles de documents juridiques, d’articles de journaux et de gravures d’époque. Un très joli ouvrage, vivant et rempli d'anecdotes. ».
    Amélie Bertrand
  • Toute la culture (24/11/14) : « L’incroyable histoire du French Cancan, de la censure au patrimoine, par Nadège Maruta . Illustrée, fouillée, charpentée, L’incroyable histoire du French Cancan permet de redécouvrir les coulisses de cette danse qui symbolise « la Belle époque » mais qui vient de plus loin. Longtemps soliste au Moulin Rouge, historienne et chorégraphe (elle a notamment participé aux mises en scènes d’Offenbach par Jérôme Savary au début des années 2000 à l’Opéra-Comique), Nadège Maruta apporte une dose d’érudition bluffante à un très Beau-Livre. [ ] Finissant son ouvrage sur des explications sur un répertoire des pas du cancan et un survol de la standardisation du 20ème siècle (plus de pseudonymes, performances…), Nadège Maruta livre une histoire très complète du French Cancan, avec près de 300 notes, une bibliographie complète et un propos clair et convaincant. Mais l’ouvrage est aussi écrit avec vivacité, les illustrations et la mise en page en font un bel objet coloré et plein d’énergie. Une apparence qui participe au triomphe du propos : le cancan, c’est plus qu’un patrimoine parisien en sommeil, c’est une danse populaire et révolutionnaire dont le potentiel de création et de contestation politique et sociale ne demande qu’à être réactivé… ».
    Yael
  • Télérama (26/11/14 - Page 106) : « Associé à Montmartre, la cancan est pourtant né à Montparnasse vers 1825. Symbole d’opposition à toutes les formes d’autorité, il était considéré comme un délit. Au fil de cet ouvrage superbement documenté et illustré, on découvre l’histoire d’une danse qui mérite mieux que son image de distraction pour touristes en goguette. »
  • A Paris (Hiver 2014-2015 Histoire) : « Le cancan n’est pas seulement une danse symbolisant la gaité parisienne. Nadège Maruta nous en fait découvrir les coulisses en retraçant deux siècles de danse dans les bals et les cabarets, synonyme de rébellion contre les mœurs de la bourgeoisie, de l’armée et de l’Eglise. »
  • Rappels (Décembre 2014) : "Soliste de French Cancan au Moulin-Rouge, Nadège Maruta nous raconte, avec vivacité et humour, la vraie histoire de cette danse devenue synonyme d’un Paris vibrionnant, mais aussi de l’émancipation des femmes. Des photos, des documents d’époque, comme autant de témoignages de la vie de la Goulue ou de Nini Patte en l’Air. »
  • Maison Française Magazine (Dec14/Jan15) : « LE CANCAN, TOUTE UNE HISTOIRE ! Joyeux comme les robes froufroutantes de ces dames, voici un ouvrage qui nous plonge dans l'histoire de cette danse née lors du carnaval de Paris en 1825. Le cancan étant considéré comme subversif, celles qui osent soulever leurs jupons sont embarquées illico. L'auteur? Nadège Maruta, ancienne soliste de french cancan au Moulin rouge. »
  • Vivre à Paris (Hiver 2014) : « Quelle histoire le cancan ! Après Follement cancan 2002, Nadège Maruta revient avec L'Incroyable Histoire du cancan aux éditions Parigramme. L'auteur, qui fut elle-même soliste de French cancan au Moulin Rouge et chorégraphe, livre deux siècles d'histoire sur cette danse légendaire On y apprend, entre autres, que le Moulin Rouge n'est pas le seul lieu de reproduction du French cancan à Paris Ce livre permet aussi de rencontrer de grandes figures comme Nini Pattes en l'air ou la Goulue et également de découvrir les différents pas de danse. Pour finir, Nadège Maruta expose le lien fort qui existe entre le French cancan et ce qui fait de Paris le haut lieu du genre ».
    ML.
  • Chasseurs d'images (Hiver 2014) : « L'incroyable histoire du Cancan. Rebelles et insolentes, les femmes mènent la danse. L’histoire du cancan et son évolution à travers les époques, retracées par des esquisses, photos, gravures et autres documents juridiques. Un ensemble complet et inédit tracé par une soliste de French cancan au Moulin Rouge. »
  • Les Paris D.L.D : « Quoi de plus parisien que le cancan ? Nadège Maruta, elle-même ancienne chahuteuse, publie cet hymne à la gloire de la danse ….Bien plus que l'histoire du cancan, c'est une véritable histoire des bals et de la danse populaire au XIXe siècle que nous raconte ce livre : comment un style futile et condamné d'avance par ses outrances a gagné ses lettres de noblesse par d’immenses qualités dont la moindre n'est pas cette étrange impression du bonheur de vivre qui touche ceux qui sortent des spectacles, encore de nos jours ».
    D.L.D
  • Toute la culture .com : « [ ] Nadège Maruta livre une histoire très complète du French Cancan, avec près de 300 notes, une bibliographie complète et un propos clair et convaincant. Mais l’ouvrage est aussi écrit avec vivacité, les illustrations et la mise en page en font un bel objet coloré et plein d’énergie. Une apparence qui participe au triomphe du propos : le cancan, c’est plus qu’un patrimoine parisien en sommeil, c’est une danse populaire et révolutionnaire dont le potentiel de création et de contestation politique et sociale ne demande qu’à être réactivé… ».
    Yael - http://toutelaculture.com/livres/beaux-livres/lincroyable-histoire-du-french-cancan-de-la-censure-au-patrimoine-par-nadege-maruta/
  • Danser canal historique : « … [ ] Très documenté, le livre embrasse un savoir encyclopédique sur ce fameux cancan qui « n’est pas une danse mais un délit ». Histoire, analyse des pas et de leurs évolutions, grandes figures, documents d’époque, articles de journaux… Nadège Maruta connaît son sujet. [ ] Elle signe donc un très beau livre, au style enlevé, bel hommage à ces femmes « rebelles et insolentes, les parisiennes qui mènent la danse », mais aussi au travail des danseuses (et des danseurs) de cancan, loin des clichés et de la caricature. Très richement illustré par des photographies et des affiches, on (re)découvre un univers qui croise les romans de Zola ou de Colette, voire même le naturalisme de Flaubert, mais dont les images restaient souvent imprécises ou édulcorées. On y rencontre des femmes libres et courageuses qui n’ont pas froid aux yeux. On se plonge dans le Paris de La Grenouillère, du Bal Mabille, du Bal Bullier, de l’Élysée-Montmartre ou du Moulin-Rouge. C’est ce qui rend ce livre tout à fait passionnant. ».
    Agnès Izrine - http://dansercanalhistorique.com/2014/12/18/lincroyable-histoire-du-cancan-par-nadege-maruta/
  • Le Figaro.fr (Culture du 15 -12 -2014) : « [ ] Aujourd'hui, cette danse a sa bible grâce à Nadège Maruta [ ] Nadège Maruta dresse son encyclopédie du Cancan avec l'entrain et la vivacité qu'on prête à ses interprètes, avec une précision extrême: figures, tenues, interprètes, historique. Son livre se dévore. Et s'admire, puisque les pages sont rythmées par l'iconographie joyeuse [ ] » http://www.lefigaro.fr/culture/2014/12/15/03004-20141215ARTFIG00285-10-cadeaux-de-danse-a-mettre-sous-le-sapin.php
  • OPERETTE (01 FEVRIER) : « Soliste de « trench-cancan » au Moulin Rouge puis chorégraphe auprès de Jérôme Savary et auteur en 2002 de « Follement cancan » (paru aux éditions du Rocher), Nadège Maruta a parcouru pies de deux siècles de documents juridiques et d’articles de journaux pour nous raconter l’incroyable histoire du cancan. Cet ouvrage particulièrement bien documente est richement illustré de documents pour la plupart rares. II narre du carnaval de Paris de 1825 à la fin du XX siècle l'histoire du chahut (ou cancan) en passant par le « french cancan » du Moulin Rouge. II s'attarde également sur les compositeurs dont les musiques ont pu servit a cette danse échevelée à laquelle Offenbach a pu voir son nom lié. Sous-titre « Rebelles et insolentes les parisiennes mènent la danse » cet excellent ouvrage qui vient de paraître aux éditions Parigramme peut être également considéré comme une étude sociologique de ces femmes qui « agitaient leurs jupons comme le drapeau de leur émancipation ».
    B.G.
  • L'OBS (19/25 MARS 15) : « […] Nadège Maruta, danseuse au Moulin-Rouge et chorégraphe, retrace l'histoire de ce dévergondage depuis 1825, date à laquelle le cancan « républicain, féministe, festif, fédérateur » est poursuivi devant les tribunaux. […] ».
    FRANÇOIS FORESTIER
  • La gazette de l’hôtel Drouot (06 MARS 15) : « JUPONNAGEET JAMBES LÉGÈRES. Ancienne soliste du Moulin Rouge, Nadège Maruta est partie sur les traces de ses plus fameuses interprètes, Rigolboche, la Goulue, Grille d'Egout et Mini Patte en l'Air Grâce à elles, vous apprendrez que les chorégraphies endiablées composent alors un langage à part entière Tandis que les hommes dressent le poing en guise de revendication, les femmes lèvent la jambe ! En témoignent leurs pas raillant l'armée ou l'Église, et plus généralement la morale Revenant aux origines de la danse, en 1825, cet ouvrage richement illustré retrace l'histoire du « chahut » et l'évolution des quadrilles, excentriques ou naturalistes »
  • TV5 Monde (30/01/2015) : « […] L'ancienne danseuse Nadège Maruta, aujourd'hui chorégraphe, retrace l'histoire de ce qui fut un phénomène de société, en remontant à l'époque où le cancan n'était pas une danse, mais une rébellion, voire un délit. Dans son livre L'incroyable histoire du cancan, elle a réuni documents et images d'époque, anecdotes croustillantes et humoristiques, détails historiques et explications techniques. […] L'incroyable histoire du cancan fait la part belle aux danseuses, filles du peuple qui en veulent et pionnières d'une société en voie d'émancipation. […] ».
    Liliane Charrier
  • Cassandre / Horschamp (Printemps 2015) « La vérité sur le cancan ! Une révélation rien de moins. Dans L’incroyable histoire du cancan, ouvrage de référence sur les origines et l’identité de cette danse révolutionnaire, Nadège Maruta replace le cancan dans son contexte historique et sociétal. Beau livre, résultat de dix ans de recherches et riche de centaines d’illustrations, cet ouvrage révèle le caractère militant, occulté depuis un siècle, d’une danse d’abord interdite, puis volontairement banalisée. . […] ».
    Thomas Hahn
 

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Extraits de presse de La Vie Parisienne au théâtre national de l'Opéra Comique

 

  • Le Journal du Dimanche (27/01/2002) : « Quand l’Opéra-Comique a le feu aux fesses » L’Opéra-Comique vibre au rythme du Cancan endiablé (…) Savary a engagé comme chorégraphe une ancienne soliste du Moulin-Rouge, Nadège Maruta, pour « redonner sa gaîté au cancan» (…) Nadège a ébloui pendant des années le tout Paris touristique - y compris des personnalités qu’on n’imaginait pas se passionner pour le cancan : Hugues Gall par exemple. Jadis, le directeur de l’Opéra de Paris engagea Nadège à Genève pour une version de La vie parisienne que réalisa - déjà – Savary. Et Gall préface aujourd’hui le livre que la cancaneuse va faire paraître sur sa vie. Il voit en elle « tout à la fois la gouaille et l’insolence de Paris » (…) Nadège est devenue l’historienne du cancan. « Aujourd’hui, le Cancan a perdu son humour. Les danseuses toutes clonées sont tristes». Redonner sa gaîté au cancan, voilà son entreprise. »
    Nicole Duault
  • Le Figaro étudiant (05/03/2002) : « Du cancan, du cancan et encore du cancan dans La Vie parisienne! A l’Opéra-Comique, les gambettes et les fanfreluches des cancaneuses continuent d’affoler les foules pour encore quelques semaines (…) Scène après scène, le petit manège de la vie mondaine s’enfile, entrecoupé de french cancans endiablés.»
    Assia Rabinowitz
  • Le Figaro (9-10/02/2002) : « Pas un final où le public ne tape dans ses mains pour rythmer le cancan qui se déchaîne. »
    Jacques Doucelin
  • La Croix (21/02/2002) : « Le spectacle ne manque pas d’énergie avec ses french cancans endiablés, son danseur ‘désossé’ et son délire visuel. »
    Jean- Luc Macia
  • La Tribune Desfossés (11/02/2002) : « Et puis il y a le french cancan, si impertinent dans ses figures (…) Un cancan endiablé avec un Valentin le désossé plus vrai que vrai. »
    Jean-Pierre Bourcier
  • Le Parisien (31/01/2002) : « C’est un hommage au french cancan, né en 1830, et interdit alors pour raison d’immoralité. A l’époque, le cancan était une danse révolutionnaire, sauvage. C’était une java coquine, extrêmement sexuelle. Avec la chorégraphe Nadège Maruta, nous avons essayé de retrouver un cancan canaille que l’on n’a jamais vu. (J. Savary) »
    Frédérique Jourdaa
  • Le Canard enchaîné (13/02/2002) :  « Cela n’entame ni la gaieté du cancan ni le pif et le paf des bouchons de champagne. Une réussite ! »
    Luc Décygnes
  • VSD (7/02/2002) : « (…) et le spectacle de cancan digne du Moulin Rouge de Toulouse Lautrec. »
    Matthias Gurtler
  • Le Journal du Dimanche (24/02/2002) : « (…) une déferlante de cancans, le roi de la fête, superbement lancé. »
    Annie Chénieux
  • Centre France (10/03/2002) : « (…) de vraies danseuses de cancan. »
  • Paris Normandie (1/03/2002) : « Froufrous et jambes en l’air. A l’Opéra comique, Jérôme Savary signe une mise en scène rythmée par le french cancan.(…) Et afin que tout soit réglé comme du papier à musique, il n’a pas lésiné et a confié la chorégraphie à une ex- soliste du Moulin Rouge, Nadège Maruta. Elle connaît son affaire. Et l’ensemble explose sur scène. C’est tonique et transpire de joie de vivre. »
    Benoît Vochelet
  • Valeurs Actuelles (22/02/2002) : « (…) Le french cancan n’est plus aujourd’hui un divertissement populacier ou un piège à touristes canailles mais un genre chorégraphique comme un autre, héritage heureux d’un temps où l’on ne croyait pas que la danse se dût d’être ennuyeuse.(…) porté par une troupe de danseurs exceptionnels. »
    Laurent Dandrieu
  • Le Télégramme de Brest (6/03/2002) : « La Vie parisienne. Cancans et grands délires. (…) Tous se lâchent, musiciens, chanteurs lyriques, comédiens, danseurs- acrobates, mais aussi de vraies Cancaneuses. »
    Anne Touchard
  • Revue Europe (mars 2002) : « (…) Nadège Maruta, la chorégraphe, est une spécialiste du cancan qui défend hardiment ses valeurs de transgression. »
    Béatrice Didier
  • Avantages (avril 2002) : « Le cancan bouscule la morale bourgeoise, met le feu aux théâtres. »
    Bernard Babkine
  • Nice-Matin (28/02/2002) : « Vive les cancans (…) personne ne résiste au french-cancan qui revient à plusieurs reprises et pour lequel Savary a demandé à la spécialiste Nadège Maruta de régler la chorégraphie. Le danseur contorsionniste Pierre-Antoine Dussouillez qui n’a rien à envier à Valentin-le-désossé est fabuleux. »
    Nadine Lefèvre
  • Notre Temps (février 2002) : « (…) et de vraies cancaneuses, qui animent un tableau digne de Toulouse Lautrec. »
  • Opéra International (avril 2002) : « (…) des cancans déchaînés (…) La chorégraphie de Nadège Maruta est particulièrement enlevée, avec un étonnant contorsionniste qui rappelle Valentin le Désossé. »
    Bruno Villien
  • France-Soir (1/02/2002) : « Le Cancan de Savary (…) l’incontournable cancan final. »
    Ariane Dollfus
  • Le Parisien (5/02/2002) : « La vie parisienne : french cancan et franche rigolade (…) Au troisième french cancan, la salle hilare applaudit à tout rompre. Un irrésistible moment de bonheur et de bonne humeur. ! »
    Frédérique Jourdaa
  • Côté femme (27/02/2002) : « French cancan endiablé (…) Les gags fusent, les tableaux s’enchaînent, rythmés par les chahuts et les cancans. Des charivaris chorégraphiés par Nadège Maruta, ancienne soliste du Moulin Rouge. »
    France Odéon
  • Le Quotidien du Médecin (4/02/2002) : « (…) de vraies cancaneuses. »
    Olivier Brunel
  • Têtu (avril 2002) : « (…) coup de chapeau particulier aux danseurs et danseuses de french cancan, qui réalisent bien plus que des performances acrobatiques. Le glamour tonique emporte, entraîne et fait rêver. »
    Pierre Angel
  • Cassandre (septembre 2002) : « (…) Nadège Maruta est à elle seule le moteur de la réhabilitation d’une danse galvaudée par l’industrie du spectacle. »
    Thomas Hahn
  • Washington Times (19 février 2004) : « The high point of the evening was the spectacular dancing . With unbelievably elastic male hoofers cartwheeling about the stage and scantily clad cancan girls kicking suggestively high and displaying more derriere than the Vegas chorus lines they inspired, Offenbach’ s toe- tapping production numbers soon got the entire Opéra House involved in festivities.»
  • The Washington Post (Février 2004) :  « La Vie: Cancan- Do Spirit »
    Cecilia Porter
 

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Extraits de presse de La Vie Parisienne à l'Opéra de Lausanne

 

  • La Liberté (20 /02/2005) : « Du french cancan à l’Opéra de Lausanne » ( ) « Cette danse canaille et étourdissante sera servie ici par une quinzaine d’élève de l’école- atelier Rudra Béjart Lausanne. Ils mettront leur fougue et leur souplesse au service de la chorégraphe française Nadège Maruta qui fut première soliste de cancan au Moulin Rouge de Paris. »
  • Tribune de Genève (20 /12 /2005) : « Lausanne va courir au cancan de Savary » ( ) « Le french cancan du cinquième acte est réglé par une ancienne première soliste du Moulin Rouge ».
  • La Tribune de Genève ( 27 /12 / 2005) : « Pas de quoi torpiller l’approbation qu’inspire ce spectacle, remarquable aussi par l’indispensable jeunesse des interprètes, avec en têtes l’équipe très Moulin Rouge fournie par l’Atelier Rudra de Maurice Béjart. »
  • Sortir (22 /12/2005) : « French cancan à Lausanne » ( ) « Quand au French cancan, qui intrigue cette opérette aux parfums sulfureux, son histoire a valu bien des malentendus. Né en 1830, au cours d’une période fiévreuse, il s’inscrit à contre courant des valeurs et de la morale étriquée de la société bourgeoise. Les gens de la haute se sont empressés d’interdire cette danse pour raison d’immoralité. « Malheureusement, le cancan s’est peu à peu transformé en une danse de girls qui l’a ravalé au rang de divertissement de cabaret » regrette Nadège Maruta. Cette chorégraphe historienne a même écrit un livre Follement Cancan (ED du Rocher ?2002.) Sa contribution au spectacle est d’autant plus attendue.
    Julian Sylves
  • 24 heures, La Liberté.ch, Le Matin, Le Journal, Le Matin, Le Nouvelliste, Tribune de Genève, La Côte (18/12/2005) : « French cancan à l’Opéra de Lausanne » ( ) « La vie parisienne, danse canaille et étourdissante plus que centenaire qui a nourri bien des fantasme pour musique pétillante, ses froufrou et bien sûr son french cancan, sera servie ici par une quinzaine d’élèves de l’école Rudra Béjart Lausanne. Ils mettront leur fougue et leur souplesse au service de la chorégraphe française Nadège Maruta qui fut première soliste de french cancan au Moulin Rouge de Paris. »
    SDA-ATS News Service
  • Week-end ( 22/ 12 /2005 ) : « Froufrou et French Cancan revisités par les élèves de l’école Rudra Béjart donnent du piquant à une œuvre créée à la fin du XIXe siècle. »
  • Le Temps (22/12/2005) : « Jérôme Savary a réuni sa propre troupe pour la Vie Parisienne à Lausanne. Il s’émerveille des jeunes danseurs de L’ Ecole-Atelier Rudra Béjart, qui ont si bien relevé le défi d’apprendre le French cancan. »
  • Le Temps (24 /12 /2005) : « ( ) Il aime la surenchère, et on ne saurait bouder son plaisir en voyant les jeunes danseuses de l’Ecole-Atelier Rudra Béjart –formidablement souples et toniques faire la roue avec leur jupons cocardiers. »
  • La Tribune de Genève (27 /12/2005) : ( ) « Un vrai décor continuel, du french cancan à la louche, achèvent de donner son allure allègre et divertissante au spectacle ( ) pas de quoi torpiller l’approbation qu’inspire ce spectacle aussi par l’indispensable jeunesse des interprètes, avec en tête l’équipe très Moulin Rouge fournie par l’Atelier Rudra de Maurice Béjart. »
  • 24 Heures (24-24 /12/ 2005) : « Cancans craquants ( ) Un coup de chapeau s’impose à l’adresse des danseurs. Outre les solistes Sophie Agnoux, Sabine Le Roc et Brice Tripart, champions du grand écart, la chorégraphe Nadège Maruta a initié les élèves de l’ Ecole Rudra de Béjart au French cancan le plus déhanché et frénétique qui soit. »
 

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Extraits de presse de La Veuve Joyeuse de Franz Lehár

 

  • Le Figaro (10/10/05) : « ( ) Cancan endiablé, ( ) A la fin un cancan endiablé dans des flots de jupons colorés, les cris stridents des danseurs et un valentin le Désossé formidable feront le bonheur des photographes. »
    Armelle Héliot
  • Le Figaroscope (26/10/05) : « ( ) Un des grands moments de son spectacle est ce spectacle est cependant un époustouflant cancan chez Maxim’s, avec un contorsionniste et danseuses, tous levant haut la gambette. »
    Yves Bourgeade
  • Le généraliste (09/12/05) : « ( ) Cela se termine par un cancan endiablé face à une Tour Eiffel scintillante »
    Bruno Villien
  • Opéra ( 12 /05) : « ( )On a ajouté au dernier acte un ballet frénétique et déluré, plus Casino de Paris que salle Favart, avec petites tenues, contorsionniste et danse acrobatique. »
    Jacques Bonnaure
  • ParuVendu (17/12/05) : « ( ) Ce spectacle, d’une grande beauté tant au niveau des chorégraphies que de la mise en scène, pose un nouveau principe d’opérette : celui d’une forme nouvelle et intelligente où vivent et agissent des personnages pris dans une réalité. »
    Bernard Moncel
  • Figaroscope (16/11/05) : « ( ) Son cancan est en outre particulièrement réussi. »
    YB
  • Le journal du Dimanche (30/10/05) : « ( ) Nous voilà dans l’allégresse et le charme d’un cancan endiablé. »
    Nicole Duault
  • Pariscope (09/11/05) : « ( ) et une soirée folle débridée chez Maxim ‘ avec un cancan endiablé dans un flot de jupons multicolores, avec un étonnant et élastique Valentin le Désossé. »
    Arlette Frazier
 

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Extraits de presse de Follement Cancan de Nadège Maruta (Parution aux éditions du Rocher en mai 2002)

 

  • Cassandre (09 /10/ 2002) : « (…) Elle a écrit Follement Cancan, qui n’est pas un livre de danse, mais l’histoire dans laquelle la découverte du cancan fut décisive. Un livre sur l’un des destins hors normes qui semble surgir de nulle part. C’est aussi un livre sur la condition d’artiste et le devoir d’amuser « même lorsqu’on est en proie à des souffrances indescriptibles ». Dans la liberté du récit, par sa vivacité, Nadège Maruta semble livrer chaque émotion qui a compté dans sa vie. Lumineuse et pleine d’autodérision, l’écriture s’envole comme sur un rythme d’Offenbach. Hantée par la mort d’une sœur et d’un frère, mise à mal par sa condition physique « - je suis une naine, une bouboule -», Nadège Maruta découvre la force de la volonté. Mais elle aussi, le cancan finit par la détruire. Exploit incroyable, elle ressuscite, elle est réengagée au Moulin Rouge. S’étant tout prouvé, ayant tout surmonté, elle écrit son autobiographie à quarante ans. Pour tourner la page. »
    Thomas Hahn
  • danse-3-thumb Danse Danse Danse (06 /2002) : Danseuse de cancan, Nadège Maruta est une femme de caractère qui a eut une adolescence difficile et tourmentée. Sixième d’une famille de huit enfants, elle embrasse la carrière de danseuse par dépit, pour surmonter le chagrin causé par la mort de l’une de ses grandes sœurs, au moment où elle venait de réussir le concours d’entrée à l’Ecole de Danse de l’Opéra de Paris. Cette autobiographie, réellement poignante, décrit le cheminement de cette artiste très débrouillarde, qui a longtemps hésité entre le cirque et la danse et qui, grâce à un hasard heureux, mais aussi à force de courage et d’abnégation, d’amour propre et de rage de vivre, deviendra soliste au Moulin Rouge. La passion l’emporte, les turpitudes de la vie aussi. Une vie tourmentée qui vous arrachera quelques larmes. »
    JMG

     

  • tele-7-jours-thumbTélé 7 Jours ( 01 /07/2002 ) : « La p’tite femme de Paris. S’il est une passionnée du cancan, c’est elle (…) Elle a mis toute sa rage de vivre au service d’un art difficile, éreintant, magique. Entre ses histoires d’amour chaotiques et son joli tempérament d’artiste, on la lit avec émotion et curiosité. »
    France Cavalié

     

  • Isa (07 /2002) : « Follement Cancan ou la naissance d’une passion pour le french cancan. Nadège Maruta, chorégraphe, relate son parcours de danseuse au Moulin Rouge. Pour survivre dans le Paris des paillettes des années 80, elle fait preuve d’une rage de vivre aussi fougueuse que les déboulés qu’elle exécute. »
    Jean-Luc Geneste
  • Danse Light (09 /10/ 2002) : « Dans cet ouvrage, l’auteur nous raconte son parcours dans le milieu de la danse et surtout la grande révélation de sa vie : le cancan qui lui permet d’exprimer au mieux toute sa rage de vivre. Malgré les difficultés de la vie, notre héroïne finira par atteindre son but : devenir soliste au Moulin Rouge et vedette incontestée du cancan. »
  • Le Journal du Dimanche (27/01/2002) : « (…) Nadège a ébloui pendant des années le Paris touristique – y compris des personnalités qu’on imaginait pas se passionner pour le cancan : Hugues Gall par exemple. Jadis, le directeur de l’Opéra de Paris engagea Nadège à Genève pour une version de La vie parisienne que réalisa – déjà Savary. Et Gall préface aujourd’hui le livre que la ‘cancaneuse’ va faire paraître sur sa vie. Il voit tout à la fois la gouaille et l’insolence de Paris. »
    Nicole Duault
  • question-de-femmes-thumbQuestions de Femmes (08 /2002) : « Nadège Maruta, étoile du cancan. Elle fut soliste au Moulin Rouge et a consacré sa vie au french cancan. Nadège Maruta milite aujourd’hui pour l’intégration de cette danse dans le patrimoine français »
    Fanny Bijaoui

     

 

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